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Question

Bonjour, quelqu'un peut m'aider il faut faire un commentaire pour ce poème . Je ne suis pas inspirée du tout merci. Niveau première .français.Merci.
Bonjour, quelqu'un peut m'aider il faut faire un commentaire pour ce poème . Je ne suis pas inspirée du tout merci. Niveau première .français.Merci.

1 Réponse

  • Réponse : les vers qui précèdent l'extrait à étudier peuvent éclairer

    Quand je me retourne en arrière il me semble que ces jours sont  

    Casinos blancs cieux aveuglants dans le soleil intarissable  

    Dunes de  

    Dieppe ou  

    Biarritz blessures de sel et de sable  

    Un seul et torride juillet poudré d'or et taché de son

    Que reste-t-il quand on se retourne en arrière  ? L'enfance ? des jours heureux ? Des visions tristes ?

    1. Je vois  : quelles images ?

    - des vision mais le plein soleil et aussi le flou, la brume

    - l'hésitation

    - un couple d'amants

    2. J'entends : quels bruits ?

    3. J'attends

    Explications :

    Je vois un jardin dévasté par la lumière et la paresse  

    Je ne suis pas autrement sûr que sa rocaille ait existé  

    Il se peut que ce n'ait été qu'une illusion de l'été  

    Une simple soif d'autre chose  

    Une rose de sécheresse

    Pourquoi dans un couple d'amants un tel amas de solitude  

    C'est une brume qui se lève et sépare le monde en deux  

    C'est comme un besoin de s'enfuir un peu moins des autres que d'eux

    Le plein midi d'aimer mortellement porte sa lassitude

    Le plein midi d'aimer mon cher des mots comme ceux-là font rire  

    Suis dans les champs coupés de murs le lézard et le scarabée  

    Et surtout ne t'en reviens pas vers elle avant vêpres tombées  

    Il y a des fleurs qui le soir seulement daignent s'entrouvrir

    Je vois ce temps qui fait long feu comme un pauvre enfant qui mendie

    Je vois des villes de poussière avec leurs arbres sans couleur  

    Je confonds le sud et le nord dans le vent et dans la chaleur  

    Je confonds la haine et l'amour la  

    Provence et la  

    Normandie

    J'écoute le silence du temps dans les villégiatures  

    Un chien fuit sans demander son reste et boite dans le sentier  

    J'entends le bruit d'une voiture au loin dans un autre quartier  

    Puis tout reprend cette tremblante immobilité des peintures

    J'attends j'attends la nuit comme une bénédiction de  

    Dieu  

    Et dans la paume de mes mains je sens brûler ce qui me touche  

    Pour que le tableau soit complet il y manque encore les mouches  

    Et le dégoût et la fatigue et les pavillons de banlieue